le Glossaire de Francis a trouvé : - | Sobriquet du CSAR (Comité Secret d'Action Révolutionnaire) (voir ce terme), mouvement clandestin créé en 1934 après l'échec du putsch du 6 février 1934, par les déçus de l'Action Française.
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Mémento des principaux mouvements politiques collaborationnistes
sous Vichy.
- PPF : Parti Populaire
Français (Jacques Doriot) - organe de presse: "Le Cri du Peuple de
Paris"
- MSR : Mouvement Social Révolutionnaire (Eugène
Deloncle)
- CSAR : Comité Secret d'Action
Révolutionnaire - appelé par dérision "La Cagoule". - organe de presse:
"La Vie nationale".
- RNP : Rassemblement National
Populaire (Marcel Déat) - organe de presse: "L'Oeuvre".
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La Parti franciste (Marcel Bucard) - organe de presse:
"Le Francisme".
- PFNC : Parti Français National
Collectiviste (Pierre Clementi) - organe de presse: "Le Pays
Libre".
- La Ligue française (Pierre Constantini) -
organe de presse: "L'Appel".
- Le Front franc
(Jean Boissel) - organe de presse: "Le Réveil du Peuple".
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Le Feu (Maurice Delaunnay) - organe de presse: "La
Tempête".
- Le Groupe Collaboration (Alphonse de
Châteaubriant) - organe de presse: "La Gerbe".
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- | (1898-1945). Député communiste en 1922, Secrétaire général de la Fédération françaises des Jeunesses Communistes en 1923, maire de St-Denis en 1930, Jacques Doriot est exclu du Parti Communiste en 1934 pour avoir pratiqué une politique unitaire avec les socialistes.
En 1936, il fonde le PPF (Parti Populaire Français) d'inspiration nationaliste, fasciste et anticommuniste. Pendant la guerre, Doriot et son parti préconise une politique de collaboration avec l'Allemagne. En septembre 1941, il s'engage dans la LVF (Légion des Volontaires Français) et combat sur le front de l'Est sous l'uniforme allemand. Le 22 février 1945, il est tué dans sa voiture, mitraillée sur une route allemande par un avion.
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Gaulle (Charles de) - CDG - France libre |
- | A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France. Le site officiel
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Mise au point sur la Résistance de Serge Desbois le mercredi 23 avril 2008 à 08h19À Mr Pierre Fauqué Eauze
Vous avez dit que « Mitterand a été fonctionnaire de Vichy , mais dès 1942, il est devenu l’un des plus grands résistants »
Il est devenu un résistant comme tant d’autre mais « pas un des plus grand résistants ». Il n’a franchi la mer qu’une fois.
Que faudrait-il dire des milliers de résistant qui sont venus en Lysander ou par parachutes en « Blind », plusieurs fois pendant les hostilités, agent de liaisons, radios, les sans-grades qui étaient vraiment de grands résistants, eux.
Vous dites « ces convertis de dernière heure appartiennent à la droite ». Non parce que les convertis de la « première heure « étaient de toute tendance confondue ». Rémy, D’Estienne d’Orves et bien d’autre.
Par contre Déat, ex-socialiste, Doriot ex-communiste étaient des " jusqu’au boutistes " de la collaboration. D’ailleurs les communistes, on en a entendu peu parler jusqu’à ce que Staline en juin 41 lors de l’expansion des Allemands vers l’est, leur aient donné l’ordre de rentrer dans la danse. Ils étaient plutôt enclins à faire paraître « l’Humanité » au grand jour au 3 ème trimestre 40 donc avec la censure de Allemands.
Que la chambre des députés majoritairement de gauche depuis le Front populaire, ait remis les pleins pouvoirs à Pétain ne la prédisposait pas à rentrer précocement dans la Résistance.
Dans l’entourage du Général De Gaulle, Marius Moutet ne disait-il pas que la cagoule avait envahi son état-major.
La vérité c’est que, des braves de toute tendance confondue de Londres ou de la métropole voulait sauver la patrie. *** / *** |