le Glossaire de Francis a trouvé :| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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| - | La "Royale" désigne la Marine nationale dont l'Etat-major est installé rue Royale à Paris.... non sans quelques arrière-pensées....
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WW2 - World War Two - Divers |
| - | Seconde Guerre Mondiale pour les Anglo-saxons et les anglophiles.
Pour simplifier la vie du lecteur, certains auteurs écriront WWII.
Utile à retenir cependant pour une recherche efficace sur le Web.
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Dans ce texte : La Descente au tombeau... de René CLAUDE le mardi 05 février 2008 à 11h08
Le doc Léopold III ou la chute d'un roi diffusé sur Arte aborde les choix politiques du roi des Belges avant, pendant et après la WW2. Le commentaire affirme que l'actuelle division Flamands/Wallons a pour principale origine la politique royale de Léopold III contre ses ministres. Le monarque, soutenu par l'opinion publique flamande contre les francophones, serait tenu pour premier - mais pas seul - responsable de la division qui en résulta. Je laisse le soin à nos amis belges de commenter cette affirmation.
Je voulais juste signaler la publication aux Editions du Rocher d'un essai de Pol Vandromme, cet observateur indépendant : Belgique, la Descente au tombeau
Extrait de la présentation : Il se passe en Belgique des choses si étranges que les observateurs étrangers les tiennent pour inintelligibles. Pourquoi une crise d’une durée interminable, presque un semestre à l’heure qu’il est ? et pourquoi n’est-on pas parvenu encore à former un gouvernement ? Pol Vandromme, écrivain reconnu qui fut longtemps un des éditorialistes écoutés de la Belgique francophone, répond à ces questions, avec le souci de rendre compréhensible pour les Français une réalité qui les déconcerte sans mesure.
Dans un livre vif et entraînant, il fait le procès du flamingantisme, c’est-à-dire d’un nationalisme linguistique qui tente de substituer par la contrainte le droit du sol au droit des gens. Après avoir évoqué le passé de la Belgique, source de son imaginaire politique, il rencontre les causes qui contribuèrent à l’actuelle convulsion. Les unes (le gouvernement des partis, les mécanismes de la société de consommation, l’aveuglement des conservatismes) touchent l’ensemble des Etats et des sociétés de l’Europe occidentale. Les autres sont propres à la nature nihiliste du flamingantisme, à son aptitude rusée d’infiltrer l’Etat qu’il s’efforce de désintégrer et d’inspirer les habitudes et les réflexes de la société qu’il rêve de conquérir.(...)
RC *** / *** |
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