 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Lors de l'offensive des Ardennes en décembre 1944, deux missions de commandos furent planifiées et reçurent les noms de code "opération Autour" (Stösser) et "opération Griffon" (Greif).
L'opération Autour, confiée au lieutenant-colonel von der Heydte, était destinée à faire sauter des parachutistes sur les Hautes-Fagnes avec l'objectif de prendre le contrôle des ponts et carrefours sur les routes des Ardennes.
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Gaulle (Charles de) - CDG - France libre |
- | A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France. Le site officiel
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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PM - Police municipale - France |
Dans ce texte : Un maigre résultat Jours 12 et 13 de Etienne Lorenceau le lundi 17 janvier 2005 à 19h33
Samedi 23 janvier
(p 118)
…
Par deux fois cet après midi Murphy et MacMillan passèrent, brièvement, nerveusement. La rencontre critique entre Giraud et de Gaulle était fixée au lendemain
…
Dimanche 24 janvier.
(p 119)
Il ne restait que peu de temps. A onze heures le matin suivant, le Général Giraud arriva et Père se mit immédiatement au travail.
« Nous devons avoir votre assurance, Général, que vous vous assoirez avec de Gaulle et que … »
« Cet homme ! C’est un intrigant. »
« Si je vous disais que je partage certaines de vos méfiances et que c’est justement pour cette raison que je vous… »
« … et un mauvais général. Je n’ai besoin de soutien que pour les armées que je peux lever… »
« … demande de vous asseoir avec lui et de mettre au point un plan pour un gouvernement intérimaire et provisoire pour votre pays. Deux hommes comme vous Général … »
Trente minutes pour finalement :
« C’est d’accord monsieur le Président. C’est d’accord. »
Pendant qu’ils parlaient, de Gaulle était arrive et se tenait entre-temps dans le hall en l’arpentant. Ils se croisèrent à la porte. De Gaulle entra. Le chemin avait été pavé mais la prima donna voulait se faire désirer. Comme la fille dans l’histoire, il se rendait difficile d’accès. Père monta par degré en partant du charme pour passant par la persuasion puis l’insistance arriver a la demande directe. C’est a ce point qu’il me fit un signe de tête : je me glissai hors de la pièce, attrapai Giraud et nous re-entrâmes tous deux.
Les généraux se toisèrent l’un l’autre avec raideur. Toute bonhomie, Père pressa pour une poignée de main afin de sceller le pacte qu’ils avaient chacun pris vis-à-vis de lui. Comme deux chiens les deux français commencèrent alors presque à faire des cercles l’un autour de l’autre et échangèrent ensuite une brève poignée de main. Churchill fit son apparition. Père le dévisageait. Il ne dit pas « Dis a ces hommes… vas y, dis leur ce que tu m’as dit » mais était visible dans son expression.
« Nous sommes tombes d’accord » dit brièvement de Gaulle au P.M. « nous avons convenu que nous ferions de notre mieux pour mettre au point un plan d’action satisfaisant » il fit une pause « ensemble. »
Giraud hocha de la tête pour confirmer.
« Allons » cria Père « Photos ! » et les quatre se rendirent sur la terrasse en fond pour la prise des photos. Pendant que les rideaux des appareils cliquetaient et que les cameras tournaient, les deux généraux se serrèrent a nouveau la main. Et Père laissa filtrer un grand soupir. … *** / *** |
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