Les équipages étaient internés jusqu'à la fin de la guerre.
mais je ne sais pas dans quelles conditions.
Les avions, je n'en sais rien. Je suppose, en connaissant la méticulosité d'horlogers des Suisses, qu'ils désiquaient tout. Mais çà il faudrait le demander à notre Helvète de service.
Voici quand même quelques précisions au sujet du B17 de la photo:
'' A 12h43 ( 17 août 1943 ) sur l'aérodrome mixte de Zürich-Dübendorf, le Sgt.pilote genevois Georges Georgerat prépare son '' Morane 406 '' pour un exercice de tir. Il n'a pu se joindre à temps au décollage des intercepteurs de sa Fliegerkompanie 18 qu'il entend rentrer. Déjà. C'est que les Morane virevoltent autour d'un appareil inconnu dont le sourd bourdonnement couvre presque les moteurs Hispano...Un quadrimoteur! Simultanément il distingue une fusée rouge.
Le B17 a failli se poser en contrepiste et on lui intime l'ordre de refaire un circuit. Précision suisse en toutes circonstances En finale Est, cette fois, le pilote choisit de se poser TRAIN RENTRE ( voilà pourquoi tu ne vois pas les roues ) sur l'herbe, parallèlement à la piste en béton utilisé par le trafic civil.
Voilà j'espère avoir éclairé ta lanterne avec ce texte qui n'est pas de moi mais bien de l'auteur du bouquin
Amicalement
Prosper |