J'avais lu ces pages il y a longtemps déjà et je viens de les retrouver. Il me semble qu'à l'époque on ne parlait pas encore du syndrome de Stockholm, pourtant la description du comportement des prisonniers par les troupes qui les libèrent m'y fait penser et cette page aussi. En général, ils ne réagissent que très lentement et souvent continue le travail qui leur a été confié par les Allemands, ou interviennent pour demander que l'on ne fasse pas de mal à leurs geôliers.
Jacques
PS : pour moi, l'endroit ou se situe le débat importe peu, les liens sont là pour qu'il puisse être trouvé aussi à partir d'autres sujets. |