Bonsoir,
Ce manque de réactivité est tout de même étonnant. C'est la drôle de guerre et chacun sait, qu'un jour ou l'autre, l'agression aura lieu. Sans être stratège, il me semble qu'en période de tension ou de péril, la chaîne de commandements - tout comme les transmissions - se raccourcissent au minimum.
L'anecdote que je relate ici prêtait à sourire...
... et pourtant c'est peut-être la somme de petits faits comme ceux-là qui ont précipité la débâcle plus que la supériorité apparente des armes allemandes.
Bien cordialement,
Francis.