Bonjour à tous,
« Neuf mois de belote, trois semaines de courses a pied » : je crois que ce titre de contribution peut être mal interprété. En effet, de nombreux travaux historiques ont, ces dernières années, réhabilité le soldat de 1940, trop souvent et trop longtemps bouc émissaire. On sait maintenant que, certes, il y a eu des défaillances, comme dans toutes les guerres, mais que la responsabilité de la défaite revient avant tout à une politique de faible et à un commandement défaillant… et pas au pauvre « soldat de l’an 40 » qui a eu, durant quelques décennies, le dos bien large !
Bien cordialement,
JRG |