Je remercie Francis Deleu et me réjouis de la présentation de ce document (dont le lecteur intéressé trouvera une rapide mise en perspective dans mon travail Darlan - La collaboration..., p. 264), ainsi que du commentaire de François Delpla qui y fait suite.
Le texte nourrit encore le débat sur la collaboration entamé précédemment ici même. J'ajouterai une réflexion supplémentaire d'Abetz pour lequel Darlan "n’aurait pas été en contradiction avec lui-même s'il s’était placé de propos délibéré en novembre 1942 du côté des Alliés", écrira l'ambassadeur dans l'après-guerre (cf. Darlan..., p. 294).