Je cherche à entrer en contact avec l'un des historiens dont je me fais un devoir et un plaisir de relever les apports.
Son adresse e-mail figure sur le site de l'institution publique dans laquelle il est en poste.
Après quelques essais, non content de ne pas répondre, il a mis ma propre adresse en "destruction-serveur".
L'épisode est à la fois dérisoire et significatif.
A tout le moins, nos impôts, lorsqu'ils servent à salarier quelqu'un, devraient lui faire un devoir d'accuser réception des remarques de contribuable... plutôt que d'accuser l'envoyeur ! |