... pas la classification narcissique des analystes
Ceux qui se veulent les tenant d'une science exacte oublient que les mathématiques ne savent pas, au contraire de la logique, intégrer les opérateurs "si...", "et....", "ou..." etc.
Ils limitent de ce fait leur analyse aux phénomènes les plus simples qu'ils qualifient pour s'auto-glorifier de "scientifiques".
La physique (qu'elle soit astro physique ou physqie quantique) est plus modeste qui étudie des phénomènes dont la reproduction n'est vrai qu'à x% (70%, 80%...) permettant d'étudier, comme dans les sciences humaines des réalités infiniment plus complexes impactant le champs que les "scientifiques" ou "fonctionalistes" au simple titre qu'ils ne savent pas le modéliser. Par voie de conséquence, ils écartent des réalités complexes qui font que leurs démonstrations se révèlent presque toujours historiquement fausse (Voir les bêtises "scientifiques" d'un Aristote encore célébré, ou à l'inverse les méprisées intuitions d'un "et pourtant elle tourne")
Le "casting" des historiens me semble vain et relever purement d'un débat sémantique narcissique et, pour tout dire du sophisme. Seule la recherche, l'échange, le dialogue, le doute (de préférence cartésien) permettent d'approcher asymptotiquement des vérités fugaces qui n'existent pas plus "objectivement" ou "réellement" que le temps et dont l'infinité ne saurait être englobée dans l'esprit des être finis que nous sommes.
Donc je me permet de suggérer que nous parlions "histoire" plutot que de débattre sur les "historiens" en perdant de vue "la ligne bleue des Vosges"
ps. merci d'avoir partagé l'article de Mr Husson qui n'est pas aussi manichéen que les commentaires sur notre site (les miens compris bien sûr) pourraient le laisser penser... même si je questionne certains points de son analyse. |