il ne faudrait pas tomber dans le populisme.
Depuis Thucydide, il y a les bons historiens, soucieux d'embrasser avec méthode la totalité des sources disponibles, et ceux dont l'érotisme est à la fois plus sélectif et plus expéditif.
Puisqu'il est question de moi et sans vouloir me citer en modèle, je m'offre à la critique tant qu'on en redemande, par exemple avec cet article de fond sur un site interactif
.
Cette disponibilité fait même l'objet d'un compliment au vague parfum de critique, à propos de mon dernier livre, dans le n° de
Guerres et histoire actuellement en kiosque.