Chez De Lattre, on était prié de mourir avec élégance; quelques blessures fatales mais franches et pas d'intestins, de cervelle et autres membres arrachés : ce n'est pas bon pour les actualités ! J'exagère...? Oh, à peine. On sait qu'en Indochine, le "Roi Jean" avait monté un groupe d'opérateurs film chargés de lui confectionner de sujet glorieux à la demande.
Il faisait arranger des espaces du champ de bataille pour des plans édifiants...quitte à faire déplacer des cadavres gênants ! C'est Lucien Bodard qui rapporte les manies parfois fatales de De Lattre dans son récit "La guerre d'Indochine" réédité chez Grasset. Mais je m'écarte du débat. Sorry !
Amicalement,
René |