Olivier Wieviorka - Claude Barbier - « Vivre libre ou mourir. Plateau des Glières Haute-Savoie 1944 » - forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre


Et les autres livres cités


La description de ce livre

« Vivre libre ou mourir. Plateau des Glières Haute-Savoie 1944 » / Association des Glières

En réponse à -5 -4 -3 -2
-1Olivier Wieviorka a tout faux sur un point capital ! de Alain Cerri

Olivier Wieviorka - Claude Barbier de Francis Deleu le lundi 11 août 2014 à 11h19

Bonjour,

Merci pour ces précisions !

Dans son livre Histoire de la Résistance 1940-1945 Perrin, 2013, Olivier Wieviorka consacre cinq petites pages au drame des Glières. La majorité des références renvoie à la thèse de Claude Barbier : Des « événements de Haute-Savoie » à Glières. Mars 1943-mai 1944. Action et répressions du maquis savoyard, thèse dirigée par Olivier Wieviorka, Paris-I, 2011, 1 068 pages.

Je me pose la même question qu'Emmanuel de Chambost : Il serait intéressant de comparer la thèse de Barbier et le bouquin qui en est résulté. Notons que je n'ai pas lu le livre de Barbier mais bien celui de Wieviorka. En me basant sur ce qui est écrit sur différents sites/débats, je me demande si Claude Barbier, dans sa thèse, ne se serait pas gardé de gommer les aspérités qui auraient pu déplaire au jury ? Par exemple, Barbier aurait écrit que le bilan humain de la " bataille " de Glières est modeste (un soldat allemand tué accidentellement, deux maquisards tués et un blessé) alors que Wieviorka, page 351, écrit : Le bilan de Glières fut donc particulièrement élevé, puisque le maquis perdit au total 210 hommes, alors que les Allemands subirent tout au plus quatre pertes et Wieviorka d’ajouter en citant Claude Barbier Près d’un homme sur deux présent sur le plateau entre la fin janvier et la fin mars 1944 fut tué, déporté, emprisonné ou envoyé en camp de travail.

*********

Le plus affligeant voire inquiétant ! Des sites négationnistes se sont emparés du livre de Barbier considéré comme la déconstruction d'un mythe comparé aussitôt au mythe des chambres à gaz d'Auschwitz dont ils nient l'existence.

Bien cordialement,
Francis.

*** / ***

lue 1853 fois et validée par LDG
 
décrypter

 



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes