Renault fut assez durement touché par le STO, 16% des effectifs, ce qui est beaucoup pour une entreprise travaillant assez largement pour les armées allemandes.
Le directeur général et bras droit du patron à cette époque, René de Peyrecave, enverra à Augsburg, Chez Messerschmidt, avec des requis de Caudron-Renault, son fils Henri, stagiaire à Billancourt.