Rien ne vous permet d'affirmer que les arbres étaient disposés ainsi. La photographie que vous avez trouvée montre qu'en 1943 ou 44 il y avait des arbres le long de l'avenue menant au pont mais pas qu'il y en avait le long de la rue longeant le fleuve.

Et même si vous pouviez montrer qu'il y en avait le long de cette rue, il faudrait montrer qu'il n'y avait pas une trouée dans les arbres permettant de voir les fenêtres de Jean Moulin depuis un point du pont connu de Cordier.

Je ne comprends donc pas pourquoi vous tentez ainsi de piétiner les éléments qui mettent votre thèse à mal. Ce n'est pas l'attitude d'un scientifique. Présenter votre hypothèse comme une preuve en faisant pousser des arbres la où ça vous arrange, c'est du jardinage magique, tout au plus.

Vous pourriez parler de probabilité pour que la fenêtre de Moulin ait été invisible depuis le pont et y voir un encouragement dans vos recherches, mais vous ne pouvez rien considérer comme acquis.