C'est dans le Figaro d'hier :
Brayard, s’il n’est pas sans reproche, est au moins sans peur, tandis que le directeur de l’IHTP excelle dans l’art de l’esquive !
Ingrao, plus encore que Brayard, entend cantonner l’apport du livre dans la question du génocide, alors que cet exemple est riche d’enseignements sur le pilotage par Hitler de son parti et de son pays, pendant toute sa carrière et dans tous les domaines.
Mais enfin, tout de même, si la notion de progrès est le bouc émissaire des angoisses de ce temps, au moins règne-t-elle encore en maîtresse dans le domaine de la connaissance scientifique : un directeur d’institut de recherche répudiant ce concept, c’est sans doute une première…
… et certes pas un progrès !