avant que j'oublie de françois delpla le jeudi 06 octobre 2011 à 18h18
J'ai passé une partie de l'après-midi avec Raymond Aubrac et il m'en a conté une, qui mérite de passer à la postérité. Même si peut-être (pas le temps de vérifier) elle est déjà dans son livre ou celui de Convert.
Peu après le discours de Phnomh Penh (1966), il rencontre Ho qui lui fait un éloge de De Gaulle. Aubrac lui rappelle que ce dernier porte une reponsabilité dans le déclenchement de la première guerre d'Indochine. Réponse :
"Nous avons un proverbe : "Le boucher, en vieillissant, devient Bouddah !"