... de la morale.
Dans une situation pareille, ce qui compte, c'est de hâter la fin de la guerre, c'est-à-dire l'écrasement du nazisme.
Posons donc une bonne fois le problème suisse sous cet angle.
Ou encore, le problème français sous l'angle suisse !
Parmi les arguments contre l'armistice de 1940, on n'a guère entendu dernièrement (ni antérieurement) agiter le fait qu'il condamnait quasiment la Suisse à présenter pendant des années un profil très bas, alors qu'un abandon de la métropole en combattant aurait créé dans vos montagnes une situation intéressante. Et rivé son clou à votre Pilet comme à notre Pétain. |