"Dans la première phase de la Seconde Guerre mondiale, lorsque la Grande-Bretagne et la France étaient des alliés, leurs officiers de marine ont coopéré à la campagne de Norvège et à l'évacuation des troupes françaises et britanniques de Dunkerque. Lorsque le maréchal Pétain signe un armistice avec Hitler après la chute de la France, Churchill avait espéré que davantage de l'établissement militaire français venait de notre côté. Avec le général Weygand la tête d'une armée d'outre-mer et de l'amiral Darlan tête d'une flotte française libre dans la Méditerranée, il n'y aurait pas eu de présence allemande en Afrique du Nord, pas de siège de Malte, et la Wehrmacht aurait pu perdre la bataille de Crète.
Mais la haine viscérale, ou à tout le moins la méfiance, de Grande-Bretagne était profondément enracinée chez les Français. L'amiral Darlan arrière grand-père avait été tué à Trafalgar. Les deux Weygand et Darlan croyait que l'Allemagne défaite Grande-Bretagne, si ils ont préféré la politique de Pétain de neutralité armée. Sur les 100.000 soldats français évacués à Dunkerque, moins de 10.000 rejoint De Gaulle gratuit en français, tandis que les autres sont retournés chez eux."

J'ai laissé la traduction automatique telle quelle "De Gaulle gratuit en français" pour "de Gaulle’s Free French" c'était too mutch !

A part ça pas un mot dans l'article sur Madagascar, j'espère que le bouquin ne l'a pas oublié !!!

Ha non Les combats était à son plus rude à Madagascar en 1942, une campagne inconnue de la plupart des étudiants de la guerre, y compris moi, et ici clairement décrite.