Je ne comprends rien à ton "dégueulis" (ce n'est pas moi qui ai employé ce mot à ton endroit).
Possible ! j'ai pour ce genre d'amabilités une mémoire paresseuse. Mais pour l'heure, c'est bien par ton relais que celle-ci est réactivée (l'amabilité, pas la mémoire).
Que veux-tu prouver ?
Cette question montre lumineusement ce qui nous sépare.
le pacifisme est fauteur de guerre. Il rend facile la tâche des méchants.
Dans le genre, ce passage n'est pas mal non plus.
Et en ce temps de Noël, je ne reculerai pas devant un aveu : c'est précisément le pacifisme qui me paraît faire toute l'actualité du message chrétien et plus encore assurer son avenir. Heureusement pour toi que l'enfer n'existe pas, une pareille hérésie t'y conduirait tout droit ! Mais soyons miséricordieux disons plutôt qu'il y aurait là une bonne raison de t'envoyer au Purgatoire, pour entamer ce à quoi tu t'es obstinément refusé pendant ton passage dans cette vallée de larmes, l'apprentissage de la nuance.
De quels bellicistes parles-tu ?
Pour l'Europe, je n'en connais que deux : Hitler et Mussolini.
Tous les autres étaient pacifistes
Les bras m'en tombent ! Ici ce sont tes amis Pétain et Laval que tu trahis sans vergogne, eux qui combattaient le "bellicisme", en le reprochant notamment à Mandel, Reynaud et Churchill, dès le temps de Munich et même avant, et qui n'en démordirent pas de toute l'Occupation.
Pour ma part, je me refuse précisément à dire que Churchill était belliciste, ou pacifiste, encore qu'à choisir le second terme soit le moins inapproprié. Dans l'été 1939 encore, il prônait le réarmement, la conscription et l'alliance avec l'URSS en estimant que cela pouvait faire reculer voire chuter Hitler. |