L'ex-anonyme prétend, de nouveau, que Vichy ne savait rien du sort des Juifs. Or,
le 1er décembre 2009, il a affirmé le contraire :
"il importait fort à Vichy que toutes ces vilaines choses que vous évoquez (la faim, la maladie, les balles ...)n'atteignent qu'un minimum de gens que Vichy, loin de se laver lâchement les mains de toute compromission, préféra entrer en négociation".
L'ex-anonyme s'est ainsi contredit une fois de plus, ce
en vertu d'une stratégie de mauvaise foi que j'ai notamment décortiquée ici.