> Laloup s'attribue le monopole de la logique.
> Il a tort.
Voir l'ex-anonyme (Michel Boisbouvier) donner des leçons de logique alors qu'il s'est contredit une vingtaine de fois en quelques jours à peine laisse assurément rêveur...
Et d'ailleurs, il se contredit de nouveau (voir plus bas pour comprendre).
> Quand on refuse des visas pour ne pas séparer des enfants
> de leurs parents on est dans la logique de l'époque et,
> quand on condamne celui qui l'a fait, on est dans la
> logique de la nôtre. C'est donc bien d'anachronisme qu'il
> s'agit. En avril 45 on ignorait encore l'extermination,
> alors en octobre 42, vous pensez !
Tout d'abord, ainsi que je l'ai montré
ici et
là - voir également
cet article de Lebel -
cette assertion est fausse. Répétée à plusieurs reprises comme si de rien n'était, alors qu'elle a été constamment réfutée (et sans qu'un seul argument soit opposé auxdites réfutations), l'"erreur" devient
un mensonge caractérisé.
L'assertion est d'autant plus mensongère que l'ex-anonyme
himself a admis
le 1er décembre 2009 qu'
"il importait fort à Vichy que toutes ces vilaines choses que vous évoquez (la faim, la maladie, les balles ...)n'atteignent qu'un minimum de gens que Vichy, loin de se laver lâchement les mains de toute compromission, préféra entrer en négociation".
Comme je l'ai déjà démontré, ces changements de versions de l'ex-anonyme (Vichy n'est coupable de rien car aurait tout ignoré du sort des Juifs, Vichy n'est coupable de rien car aurait tenté de sauver les Juifs d'un sort funeste) relèvent d'une
stratégie de mauvaise foi consistant à adapter la défense de Vichy aux propos tenus par les contradicteurs de l'ex-anonyme, de manière à ce que l'échange tourne en rond.