... que les idées fausses s'installent vite et ont la vie dure.
Ce que je souhaite simplement ici c'est qu'on rende justice à chacun, en distinguant bien, notamment, les assaillants et les assaillis, quand il y a lieu de les distinguer.
Margolin n'avait pas dit un mot contre Nanta ou Cipango, ni les Aubrac contre Cordier ou Azéma, ni Desbois contre Ingrao ou Laurentin, ni Husson contre Brayart. Et ces cas, fort divers par ailleurs, ont en commun qu'on a distillé l'idée que ces gens (les assaillis) étaient en conflit avec "les historiens", les vrais. Il importe de pourfendre ces baudruches (je veux dire les rumeurs, pas les assaillants !), et alors seulement les véritables débats historiques peuvent avoir lieu.
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