Personne, apparemment, n'a embrayé ni soupçonné Cordier de turpitudes hitlérophiles. J'aurais même en un sens des raisons de me réjouir, si cela a pu faire méditer Daniel sur ses sottises irresponsables de la "table ronde" de Libé en 1997, dictées, sans qu'il fasse trop d'efforts pour s'en cacher, par sa jalousie envers les spots braqués sur Lucie.
Reste que cette façon d'insinuer que quelqu'un n'est pas clair en utilisant jusqu'à plus soif un bruit démenti d'arrestation, sans que soit articulée la moindre hypothèse sur ce qui aurait pu se passer pendant ladite arrestation et à sa suite (il aurait tout de même été relâché très vite !) est, comment dit-on aujourd'hui ? gerbante.
Même si on comprend bien que, outre le souci de déconsidérer Cordier comme auteur (perceptible en 20 autres endroits du livre), se manifeste ici celui de dédouaner René Hardy (la croisade de Baynac... et, à mon avis, sa croix !) en insinuant qu'on peut passer par la case Gestapo et rester un type bien.