Je remarque que, faute de pouvoir me contredire sur le fond de manière sérieuse, certains en sont réduits : soit à me faire dire ce que je ne dis pas en manipulant mes propos de façon grossière, soit à relever des erreurs dans mes citations en les présentant à tort comme des erreurs volontaires, soit à m'accuser de "négationnisme" et autres bêtises de ce genre.
Bernard emploie exactement les mêmes procédés quand il s'agit de critiquer le livre de Friedrich sur les raids aériens alliés :
1. Il lui fait dire ce qu'il ne dit pas notamment que celui-ci assimile les raids aériens à la Shoah, ce qui évidemment serait une bêtise.
2. Il s'en prend à sa personne, en l'accusant d'être un militant d'extrême droite, procédé utilisé de manière systématique par Bernard
Ces petites méthodes sont évidemment un aveu de faiblesse.
Il est très facile de rechercher et de trouver, lorsqu'on a assez de temps libre pour le faire, dans mes nombreuses contributions sur ce forum des erreurs, des approximations etc...
Si j'avais le temps et la tournure d'esprit nécessaires pour ce genre de travail, je n'aurais aucun mal à dresser la très longue liste des bourdes des uns et des autres. Il n'y d'ailleurs pas à chercher bien loin : la dernière en date :
"Le mot d'ordre "tuer les ouvriers" apparaît bien dans la bouche de Churchill, à partir du moment où on constate que les Allemands dispersent ou enterrent leurs usines." (Delpla)
A ce stade et puisqu'il est (de moins en moins) question des raids alliés sur l'Allemagne, il n'y a qu'à renvoyer ceux qui s'intéressent au sujet au livre de Friedrich pour qu'ils se fassent une opinion.
Ceux qui savent lire et ne sont pas totalement bornés, c'est à dire presque tout le monde, un tout petit nombre d'individus mis à part, comprendront ce que fut le "moral bombing", un procédé criminel car consistant à s'en prendre délibérément aux populations civiles pour précipiter la capitulation du IIIe Reich.
Ensuite, chacun est libre d'estimer comme Léon Bel que les Allemands l'ont bien mérité... |