Ah oui, c'est vrai. Désolé. Une bien belle illustration de ce que vous disiez à propos du caractère faillible de la mémoire et même, dans ce cas précis, du témoignage humain car j'avais sous les yeux la couverture du livre.
C'était d'ailleurs l'un des partis pris des auteurs de "Liquider les traîtres" de se fonder avant tout sur les archives, en l'espèce celle de la préfecture de police de Paris (pour l'essentiel), plutôt que sur les témoignages.
Les mêmes déploraient d'ailleurs que l'histoire de la Résistance ait été écrite d'après les récits des acteurs des événements de l'époque et que les archives aient été négligées. |