Bonsoir,
Un fonctionnaire de police viennois, membre d'un
Einzatzkommando opérant en Biélorussie, dans une lettre à sa femme écrite le 5 octobre 1941:
Violences de guerre
Les membres des
Einzatzkommando's et les soldats de la Wehrmacht qui ont participé ou assisté ou
séjourné ou combattu sur l'Ostfront ne pouvait ignorer cette odeur, cette ambiance de mort et d'atrocité permanente (Daniel L.) ..... restaient-ils bouche-cousue lors d'une permission et retour au foyer ?
Bien cordialement,
Francis.