Ce monsieur dit qu'il constate avoir été censuré deux fois dans sa vie. La censure d'aujourd'hui lui rappelle celle d'hier. C'est ce qu'il ressent.
A mon humble avis, la réponse aurait pu être :
"Cher M. Laroche,
Je suis navré que l'effacement de certaine partie de votre contribution vous ait remis en mémoire les méthodes de la police de Vichy !
Si j'ai effacé les liens mis en ligne ce n'est pas pour vous empêcher de vous exprimer mais pour préserver l'exclusivité du travail que deux de nos membres sont en train de réaliser.
Si vous êtes offusqué par ma modération, libre à vous de réagir, mais croyez bien que mes intentions n'étaient en rien comparables à ceux qui vous ont jadis censuré.
J'espère que vous comprendrez mes raisons.
Quant à moi, je vais réfléchir aux conséquences de mes actes en tant que modérateur comme vos réactions m'y incitent.
J'espère sincèrement ne pas vous avoir blessé.
Ceux qui me connaissent pourront témoigner de mes bonnes intentions."
Amicalement
Jacques |