si on fait de l'histoire et non de la propagande ou de la discussion de salon, il y a des faits et des textes, à étudier avec toute la minutie chronologique requise, qui permettent d'écarter ou de relativiser tous ces motifs. Au profit d'un fait massif : Hitler crée une situation d'extrême menace immédiate, en appliquant à la lettre son Mein Kampf (victoire-éclair à l'ouest puis conquête de l'espace vital de l'autre côté), tandis que Staline pare au plus pressé.
Dans l'extrait de Bordas, je constate que l'attitude française ou anglaise ne semble pas mériter explication ou analyse, pas plus que la menace allemande contre la France n'a l'honneur de la plus petite évocation.
Les réponses sont donc déjà dans les questions !
Bref, de la très mauvaise pédagogie à l'usage des lycéens. |