Quelle manie de généraliser. J'avais 12 ans en 40, à 15Km de F. Mauriac et je n'ai pas vu de femmes excitées. Tout le monde était triste, avec un peu de "trouille". Bien sûr, au début nous regardions, mais nos parents nous ont vite fait rentrer à la maison! Mon grand père, blessé à Verdun était silencieux. Ma mère n'avait aucune nouvelle de mon père, prisonnier le 16 juin 40... Elle avait perdu son sourire.
De qui se moque-t-on ?