C'est bien ce qu'on reproche à ces Françaises, quels que fussent les motifs (marre de la pénurie, amour sincère quoiqu'interdit, véritable foi dans le nazisme ou bien simple envie de prendre un bon coup). Or, si on en juge certaines -anciennes- contributions ici même, il semblerait que les prisonniers de guerre qui ont honoré la réputation du "bon coup" français en Allemagne échappent à ces considérations et à cette vindicte. Ce qui est certain, c'est que leurs femmes ne risquaient pas de les surprendre, eux, en train de grimper Greta alors que son bon Günther se faisait trouer la peau je ne sais où! Ce n'est pas "pactiser avec l'ennemi?". Peut-être que les détracteurs machistes y verront une justification: la Française "reçoit", subit, et le Français "pénètre" cette Allemande et ce qu'elle représente... Je ne supporte pas la politique du "deux poids, deux mesures", un peu comme dans notre championnat de France de foot, où les insultes contre les joueurs de couleur font (à juste titre) la une du quotidien sportif national et celles vomies à l'encontre d'un joueur italien par l'entraîneur d'un club alsacien ne soulèvent aucune remarque (sauf celles de la Licra, ce qui est assez exceptionnel dans ce cas précis!!)... |