Bonjour Léon et bonjour à tous,
Mitterrand, homme ambitieux, a toujours réussi à berner son monde. Tous ceux qu'il a honni dans sa jeunesse -et pour lesquels, plus tard, il devait conserver un grand mépris (n'a-t-il pas évoqué le "lobby juif" vers la fin de son deuxième mandat?)- se sont pourtant transformés en hérauts du mitterrandisme. François Mitterrand était un grand admirateur des princes florentins de la fin du Moyen Age et de la Renaissance. Cela ne m'étonne pas. Il aurait parfaitement tenu son rang s'il avait vécu auprès d'eux. Amoureux de Venise, il aurait aussi campé un doge quasi parfait. |