J'ai moins été publié pour mes travaux 1er Empire, mais ils sont loin d'être achevés, donc ce n'est pas choquant.

Mais votre postulat tombe "à plat" avec moi...

Aucune fascination ni admiration en ce qui me concerne, désolé de vous le dire... Au-delà de la posture et des tournures de phrase nécessaires ou requises pour rendre la lecture plus agréable... (souvent rajoutées par le rédac' chef sur un manuscrit trop "aride").

Passionné d'histoire militaire oui. Fasciné ou admiratif des soldats napoléoniens, ou de l'Afrikakorps, ou de n'importe quel homme qui trouve le courage de tuer un autre homme, désolé c'est non.

Je conçois que je ne rentre pas dans les schémas simplistes Blanc/Noir qui reposent peut-être l'esprit mais sont la porte ouverte à tous les extrêmismes, quels que soient les motifs de leur conception. Mais sachez que cette situation est bien plus fréquente que ce que vous pouvez penser. Même certains auteurs, qui s'imaginent admirer les soldats qui ont combattu sont pourtant sans concession sur leurs faiblesses ou leurs exactions.

Pour finir, je note toujours aucune réponse (refus de répondre ?) à cette question réitérée :
Qu'y a-t-il de moins choquant dans la sur-représentation de la Grande Armée par rapport à celle de la Wehrmacht ?

(je pars du postulat que cette sur-représentation existe alors qu'elle est objectivement imaginaire)

Et pour ne pas poursuivre plus avant dans le Hors-sujet (mes excuses et salutations aux modérateurs), je n'aborderai pas ici l'atroce fascination de certains écrivains pour la geste d'Alexandre le Grand, qui ne fut qu'une invasion barbare et irrationnelle plongeant l'Empire le plus civilisé et humaniste de l'Antiquité dans les affres d'une guerre civile horrible...

Je pense qu'il y a suffisamment de procès réels qui ne sont pas faits pour ne pas se livrer aveuglément à des procès d'intentions imaginaires et injustifiés...

CM