Sur le site d'un des représentants des parties civiles dans le procès Papon, on peut lire (peu clair) :
Dans son ouvrage "Papon, un intrus dans la république", pages 272-273 Gérard Boulanger accroche l'historien Henri Amouroux, auteur de la fameuse série "Les français sous l'occupation" et défenseur - pardonneur - excuseur de l'attitude de Papon pendant la guerre. Finalement, celui-ci, à travers Papon ne défend-il pas ses propres travers ?
"Henri Amouroux - journaliste de La Petite Gironde - quotidien très maréchaliste, et même pétainiste, sinon collaborationniste -, (... /...) Deux appréciations de Pierre Moniot sur le cas Amouroux vont tout à fait dans le même sens. Dans un premier document - une autre liste d'agents de Bordeaux - il porte après le nom d'Amouroux l'indication "renseignements trois derniers mois", soit, en gros, après le débarquement... Par ailleurs, un autre document de cinq pages consacré aux "propositions de récompense" pour activités dans le réseau, fait figurer le nom d'Henri Amouroux dans la "liste des agents dont nous ne connaissons pas assez l'activité pour estimer s'ils méritent une récompense". Pour en finir avec le cas Amouroux dans cette période, notons que Pierre Moniot a en tout cas choisi de le traiter avec la plus extrême circonspection. Mais ceci est une autre histoire..."

Le site

Bertrand Poirot-Delpech a tenu un journal des audiences. Je vais voir s'il parle de l'historien.

RC