Il y aurait encore bien d'autres aspects, qui éclairent d'un jour nouveau pas mal de péripéties demeurées inexplicables ou mal expliquées.
Le sexe dans la Seconde Guerre Mondiale reste encore à écrire, et pas seulement dans les activités d'espionnage, mais aussi aux plus hauts niveaux des dirigeants, des chefs militaires, des milieux gay, des planificateurs de la démographie, des salons kitty traquenards à visiteurs illustres, et de la planification démographique; enfants concus à la chaine dans les régimes totalitaires allemand et italien, "enfants de Staline", voire peuplement de colonies par de pseudos orphelins (pour les Anglais) ou repeuplement de la France par des enfants importés, processus inverse.
La guerre n'est pas seulement un temps où l'on donne la mort, c'est aussi un temps d'intenses fornications avec toutes les conséquences qui en découlent.
200.000 enfants, parait il, nés de françaises "trés occupées" par les Allemands, sans parler des offrandes aux libérateurs qui ont aussi laissé des traces.
Mais c'est un sujet délicat, ça prend à rebrousse poil les susceptibilités nationales. Ce (gros) livre reste encore à écrire.
Qui retrouvera les visiteuses furtives du maréchal Pétain, à Vichy?
Et le fonctionnaire qui agrémentait les moments de loisir de tel dirigeant français, qualifié trés justement de "taureau"?
Qui osera parler de ce grand chef militaire qui exigeait de passer sa troupe en revue, mais vêtue de short, ce qui favorisait de furtifs pelotages en cours de cérémonie?
Non, mieux vaut en rester aux petites culottes de Eva Braun... |