Relisez, vous, René, il n'y a pas un mot dans votre post qui fasse avancer quelque question historique que ce soit. Le raisonnement ne se place jamais dans les années 40-45, mais toujours et entièrement dans celles d'après guerre. Il n'est pas question de Moulin, ni d'autres résistants à l'époque des faits, mais de ce qu'untel a dit ou n'a pas dit 40 ou 50 ans plus tard, de l'attitude des éditeurs, des mandarins, des journalistes...
J'espère au moins que vous l'avez tancé d'importance pour la façon dont il a lui-même tenté de faire passer à la hussarde sa démonstration filandreuse sur l'innocence d'Hardy en inventant un ralliement de Lucie Aubrac, à partir d'un bruit journalistique isolé.
Quant à Jacques Pilet, il a un blog et n'y reçoit pas ! |