... qui se serait laisse prendre au bobard suivant ?
Un cadre de l'OAS fait l'objet parmi les siens du plus grand respect quand soudain il se voit accuse par un avocat vereux d'avoir ete au sein de son organisation un honorable correspondant du FLN. Cela ne prend guere sur le moment mais dix ans plus tard un journaliste obscur mais passant pour serieux et honnete, manipule par un editeur partial, donne au canard quelques ailes. La periode est ideologiquement favorable, les dissensions des anciens combattants s'en melent, des universitaires plus assidus dans les medias que dans les archives expriment quelques doutes.
Quelques annees encore, le dirigeant OAS decede, les articles montrent que son role n'est plus conteste. Mais une poignee d'irreductibles continuent de professer que le doute est permis.
J'en connais un qui verrait rouge :-)))
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