La facilité des réimpressions fait que, au moins depuis que je publie càd depuis le début des années 1990, les éditeurs ne raisonnent plus guère en termes de tirage, mais de "mise en place" et de "réassort". Je suppose donc que le Baynac a bénéficié d'une grosse mise en place (5 à 10 000?) et que Grasset surveille de près le réassort (càd les commandes, jour après jour, des libraires servis ou non lors de la mise en place) pour commander les réimpressions. Evidemment, si un ouvrage se vend mal, le mot "tirage" retrouve son sens : c'est la somme de la mise en place et de la petite réserve constituée pour faire face aux premiers réassorts. |