Le texte ci-dessous, reproduction in extenso d'une contribution de Nicolas Bernard en date du vendredi 2 février 2007 - ainsi que toutes les contributions s'y greffant - ont été déplacées en regard du livre de Martin Allen, Himmler's Secret War, objet du débat.
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François Delpla écrit, à raison s'agissant de cette interview de Jacques Baynac, qui augure bien mal la suite : "Une telle méthode augure mal du reste. Elle est parfaitement anti-historique. Elle rappelle les pétainistes s'accrochant comme si leur vie en dépendait (et de fait elle en dépend, ou du moins leur réputation)à une phrase unique de Churchill suivant laquelle l'armistice franco-allemand de 1940 a finalement été une bonne chose, ou ceux qui discutent sur la mort de Himmler en répétant compulsivement que la preuve de son suicide sans aide extérieure, c'est que des vilains ont essayé de prouver le contraire par des faux."
Ce qui m'amène à vous poser la question suivante, laquelle touche la méthodologie de l'historien : où ai-je écrit que la preuve du suicide de Himmler résidait dans le fait "que des vilains ont essayé de prouver le contraire par des faux" ?
Merci d'avance.
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Merci de votre compréhension,
Francis. |