Le parti communiste procédait aussi à des ouvertures de courrier, dès 1938, via le personnel des postes.
L'ERGOT, magazine niçois épurateur, paraissant quelques mois aprés la libération de Nice, mentionne, dans ses listes de traîtres anti-français à châtier, un réfugié qui tenait des propos anti-français en 1938, dans une lettre particulière. Les vaillants FTP croyaient débusquer un fasciste italien... ils n'avaient affaire qu'à un réfugié apatride juif, au nom à la vague consonance italienne!
Mais la question est: comment avaient ils eu connaissance de cette lettre? |