Merci de ces éléments. de René CLAUDE le mardi 18 juillet 2006 à 13h11
Masson tenta maladroitement de justifier son "flirt" amical assez poussé avec le redoutable W. Schellenberg qui sut habilement utiliser un réel besoin d'amitié chez Masson. Les témoignages sur la séduction de l'intellectuel nazi concordent. Quant à savoir si le chef du SR suisse, politiquement conservateur affirmé, a pu être tenté par les régimes totalitaires qui bordaient la Confédération, à ce jour on n'a pas trouvé d'éléments permettant de l'affirmer. En revanche, il y avait chez Masson une naïveté réelle qui désola(it) certains de ses contemporains.