Des anciens d'Indo m'ont raconté, et c'était pas triste, les congaïes du Parc au Buffle, le quartier réservé de Saïgon, qui n'avait rien à envier au bois de Boulogne.
Des travestis et des "gironds" qui draguaient les militaires, et qui étaient moins chers que les vraies femmes. Et puis, ces bordels à canards, pour les zoophiles compliqués... Le tout arrosé de choum, et euphorisé à l'opium.
Dans les postes reculés, ou même en ville, le militaire isolé utilisait couramment son boy pour des services trés intimes.
L'indo, ce n'était pas seulement le mariage de pretty woman avec son beau militaire. |