Il suffit de taper le nom de l'historienne et celui de la république ex-soviétique sur n'importe quel moteur pour voir apparaître force sites religieux, les uns pour qui la fédération disparue en 1991 était le sel de la terre, les autres pour qui sa disparition était un préalable obligatoire au bonheur universel.
Du côté des seconds fleurit la demande de sanctions professionnelles, adressée à différentes instances françaises, contre A L-R.
L'assimilation du communisme au nazisme est l'arme suprême des seconds, la part de l'URSS dans la victoire sur Hitler l'argument dominant des premiers pour différer l'examen de ses tares.
Rares sont ceux qui tentent de faire la part du feu :
et de montrer qu'un objet d'histoire très complexe, mêlant des facteurs locaux et d'autres planétaires, attend encore son historien.