Un impact réel de René CLAUDE le mercredi 10 mai 2006 à 19h36
Mais le Haut-Commandement allié a pris un temps le Werwolf très au sérieux. On peut aussi parler d'une intox nazie réussie : à partir des actes isolés de ces petits noyaux, la rumeur alimentée avant la fin des combats par des éléments jusqu'aux-boutistes, a eu un impact réel sur les chefs des troupes d'occupation. (les 2e Bureaux ont été sur les dents.)
Quant à Hitler, il n'a jamais sérieusement voulu quitter Berlin.
(Je suis dans le bouquin de Masson consacré à Hitler, chef de guerre. J'essaierai de résumer sa thèse. Une de plus.)