Il n'en reste pas moins qu'un historien désintéressé et impartial aurait traité le sujet dans une période non conflictuelle, et lles n'ont pas manqué, dans les années 60, 70, 80, 90. Bizarrement, ça n'inspirait personne à ce moment là.
Faudrait il en conclure que le zèle historien et le goût de la recherche ne sont venus qu'à un moment politiquement propice ?
Non. Plus prosaïquement, les archives des procès de viols considérées comme sensibles par l'US Army n'étaient pas accessibles aux chercheurs. Elles ont été déclassifiées il y a quelques années.
Comme je l'ai dit, il vaut mieux voir le docu - ou lire le bouquin ainsi que le conseille F. Delpla - avant de partir dans des considérations incertaines et/ou des réactions "affectives".
Bien cordialement.
RC |