*** son éloge pro mussolinien des années 30 ***
(bis repetita...)
avait au moins la vertu d'isoler le mal nazi, intellectuellement et, l'eût-on écouté, politiquement.
*** son obsession anticommuniste en 1940 d'abord( Finlande) et en 1944 encore (plan Balkans)***
date de 1917, est mise entre parenthèses dès 1930 en cas de danger allemand, n'affleure brièvement (bis etc.) qu'en janvier 40 quand une expédition alliée de secours à la Finlande a l'air de se dessiner (dont Churchill attend 1) qu'elle fasse sortir les Alliés de leur passivité militaire; 2) qu'elle interdise la Scandinavie à l'Allemagne) et refait surface, évidemment, quand le nazisme a du plomb dans l'aile. Mais même alors (1944-45), Churchill prend grand soin de ne pas enterrer prématurément le nazisme et s'assure que son cadavre ne bouge plus avant de redésigner Staline comme l'ennemi public (avec des nuances dont il ne gratifiera jamais Hitler). |