La "compagnia sahariana di Cufra" n'a naturellement rien à voir avec les unités "sahariane" constituées en 1942. Si les récits ne sont pas aimables pour les Italiens (d'ailleurs, il n'y a selon moi pas à être "aimable" mais seulement rapporter des faits avec la rigueur requise, en laissant de côté rancoeur et préjugés), les Italiens ne sont pas du tout aimables avec le commandant de la place, qu'ils accusent, à raison, de trahison pour s'être rendu quasiment sans combattre. Les zéros flappis existent partout... |