... j'ai tout de même vu ce téléfilm comme une fiction.(Dans les programmmes que j'ai consultés, il était annoncé comme tel). En fait, le genre "récit subjectif" offre des possibilités narratives intéressantes, car l'auteur n'est pas tenu à un rapporter la vérité la plus stricte. Il peut prendre des libertés et rendre son sujet plus "télévisuel". Et puis, comme je le disais, ce personnage du père
aveuglé par des convictions d'avant-guerre qu'il croit pouvoir encore défendre sous l'Occupation est assez représentatif d'une partie des intellectuels français qui furent en pointe dans les années 30, mais n'ont pas su/pu/voulu décrypter la nature du nazisme et du régime de Vichy.
Merci pour la référence au bouquin.
Amicalement,
René Claude |