Bonsoir Louis, bonsoir René,
Ce manque d'intérêt des maisons d'éditions pour les ouvrages anglo-saxons (et allemands : les historiens allemands sont très réputés, à juste titre) est pour moi la traduction d'un certain mépris envers, d'une part, tout ce qui ne touche pas à l'histoire de France, et, d'autre part, les réflexions judicieuses et souvent abouties des historiens "étrangers". Serait-on jaloux ou inintéressé? On peut se poser la question.
Par exemple, moi qui m'intéresse à Joachim Peiper, il est impossible d'espérer trouver quoique ce soit sur le bonhomme dans les librairies du Boul'Mich', car pratiquement tous les meilleurs livres sont en anglais (Agdt, Whiting...).
Il faut absolument parler anglais, quoi!
Vive le français malgré tout!
Une Française désapointée. |