Pour souligner ses exigences de rigueur certains affirment que le droit est la mathématique de la littérature. Votre propos illlustre cette affirmation a merveille.
Soulignons dans la meme rigueur les incidences du coups d'Etat que vous relevez.
Lorsque RFranklin D. oosevelt maintient une Ambassade auprés d'un pouvoir de fait, qu'il y place en Janvier 1941 l'Amiral Leahy qui deviendrait pas la suite, le 6 juillet 1942 "chief of staff to the commander in chief of the United States", qu'íl adjoint a cette personalité émminente son ami personnel Robert Murphy, quíl rejette tout contact avec de Gaulle au titre que celui-ci ne serait pas démocratiquement élu, c'est que le président américain a une stratégie en tete.
Les Francais d'aujourd'hui en raison de la reconnaissance qu'ils portent légitimement au peuple américain, ont du mal a nuancer leur appréciation du soutien apporté a la France par le président Franklin Roosevelt.
Le présient Roosevelt avait une stratégie de démantelement des empires coloniaux francais et anglais et avaient dès 1899 exigé - pour leurs marchandises et leurs capitaux - le bénéfice de la « porte ouverte » dans ces deux empires coloniaux. Les américaiins vivaient en effet mal son absence de colonies riches en matières premières et en bases stratégiques. Le plan a long terme de l'administration américaine était donc d'établir les Nations Unies sous le leadership américain, Nations Unies dans lesquelles seraient naturellement représentés les anciennes colonies des deux empires.
Son plan a court terme était, pour l'immédiat apres-guerre, de coloniser temporairement l'Europe occidentale.
L'accord conclu avec l'Amiral Darlan par le Général Marck Clark et Robert Murphy et imposé a Chuchill mettant« l’Afrique du Nord à la disposition des Américains » et faisant de la France « un pays vassal soumis à des "capitulations" ». Les Américains « s’arrogeaient des droits exorbitants » sur le « prolongement territorial de la France » : déplacement des troupes françaises, contrôle et commandement des ports, aérodromes, fortifications, arsenaux, télécommunications, marine marchande ; liberté de réquisitions ; exemption fiscale ; droit d’exterritorialité ; « administration des zones militaires fixées par eux » ; certaines activités seraient confiées à des « commissions mixtes » (maintien de l’ordre, administration courante, économie et censure)
Ce second coup d'Etat nést pas moins explicite et il fallu toute la rouerie de de Gaulle pour y parer. On comprend mieux pourquoi le General ne fut pas impliqué profondément dans les préparatifs de l'opération Torch (débarquement en Afrique du Nord) et dans ceux du Jour J.
De plus le président Truman en raison de l'exigence du General de Gaulle de rattacher le Val d'Aoste a la France jusqu'a la fin de la guerre en attendant un referendum, coupa tout simplement les vivres, munitions et fournitures d'armement américaines au Francais jusqu'a la fin de la guerre. Le refernedum eut lieu et rattacha la région a la France par un vote excédant les 80%.
Si l'on examine les documents américains, ils ont d'ailleurs le mérite détre clairs: depuis la conféreence de Teheran jusqu'a la fin, apres avoir rappelé ques alliés n'avaient pas de visée territoriales (ni a l'ouest ni a l'est) on ne parlera que de "l'invasion" ["invading" ou "invasion") de la France, de l'Italie, et de l'Allemagne. Il n'y avait pas meme l'hypocrisie d'un nom comme "Freeing Iraq".
Ceci pour renforcer votre propos sur l'absence de démocratie par certains ddétenteurs de pouvoirs durant cette époque troublée et sans tomber dans língratitude pour les soldats américains qui ont donné leur vie ou versé leur sang en nous libérant malgré leur administration.
Le Monde diplomatique donne une vision claire de ce qui précede sur son site a l'adresse suivante